Fondée en 1996, la collection est aujourd'hui dirigée par Tatiana Milliaressi, Université de Lille.
Fondée en 1996 pour faire suite à la collection « Études de la traduction » créée par Michel Ballard et Lieven D’Hulst, la collection « Traductologie » regroupe une série d’ouvrages qui concernent la théorie de la traduction sous ses différents aspects : philosophique, linguistique, culturel ou didactique. Cette collection se propose de souligner le caractère interdisciplinaire de la traductologie et son lien immédiat avec la pratique de la traduction dans une perspective praxeologique. Elle s’adresse à un public de chercheurs et d’étudiants qui s’intéressent aux différentes formes d’expression de la pensée conditionnées par la diversité des langues et des cultures.
Épistémologie et méthodologie de la traduction juridique
Traductologie
Par une approche croisée des savoirs du droit et de la traductologie, ce traité offre un éclairage interdisciplinaire sur les enjeux de la traduction juridique et apporte des outils méthodologiques innovants.
La traduction épistémique est celle qui transmet des savoirs. Son objectif est de convaincre le lecteur du bien-fondé du propos. C'est le troisième type de traduction encore peu étudié, à côté de la traduction littéraire (« poésie ») et de la traduction spécialisée (« prose »). Elle a sa méthodologie propre. Philosophes, linguistes, philologues...
Dans un contexte d'internationalisation croissante, la reconnaissance des systèmes criminels à l'échelle mondiale est un enjeu majeur de la lutte contre la criminalité. Cet ouvrage tente ainsi de remédier au peu d’attention qui a été accordé au rôle que joue la traduction dans les représentations discursives de la criminalité et vise à réfléchir...
Édité par Michel Berré, Béatrice Costa, Adrien Kefer, Céline Letawe, Hedwig Reuter, Gudrun Vanderbauwhede
Quelle formation grammaticale pour de futurs traducteurs ? L'objectif de l’ouvrage est de problématiser une pratique très répandue dans les programmes de formation mais peu interrogée jusqu’ici, à savoir l’enseignement de la grammaire aux traducteurs. La réflexion des auteurs s’est construite autour de quatre thématiques : l’enseignement ...
Édité par Thomas Barège, Catherine Gravet, Stéphanie Schwerter
L'histoire de la traduction regorge de comparaisons éloquentes décrivant les mauvaises traductions. De l’envers d’une tapisserie à un portrait peu ressemblant, en passant par le teint livide d’une personne malade ou un navire qui fait naufrage, les traducteurs ne se privent pas de critiquer ainsi leurs prédécesseurs. Les critiques littéraires ...
Édité par Frédérique Brisset, Audrey Coussy, Ronald Jenn, Julie Loison-Charles
Traduire peut être ludique, mais le ludique peut-il être traduit ? Pour le traductologue, l'enjeu suprême est offert par le jeu de mots : jeu sur et avec les mots (anagramme, calembour, contrepèterie, paronomase…), jeu sur le langage (création linguistique à visée humoristique : motvalise, détournement parodique…), voire jeu de mots involontaire..
La traduction est aujourd'hui omniprésente et indispensable pour permettre la communication entre les peuples et les cultures. C’est pourtant une activité multimillénaire, qui n’a pas toujours revêtu les mêmes formes ni connu les mêmes enjeux. L’histoire de la traduction, partie intégrante de la discipline que l’on appelle la traductologie, permet
La traduction joue un rôle central dans la production d'information par les agences de presse et pourtant, elle est longtemps passée inaperçue. Est-ce dû à l’image que les journalistes ont de la traduction ?
Traductologie et sciences de la communication entrent en dialogue pour répondre à cette question. Comment les agenciers participent-ils à...
L'utilisation des corpus électroniques (ou banques de données linguistiques) en traduction et en traductologie est de plus en plus répandue. Les différents corpus existants (monolingues, bilingues, comparables, parallèles…) peuvent en effet servir d’outils d’aide à la traduction en apportant des informations complémentaires à celles fournies par...
En écrivant Les Belles Infidèles il y a plus de soixante ans, Georges Mounin a voulu proposer, selon ses propres termes, « une défense et illustration de l'art de traduire ». Il a su réaliser son projet avec une rigueur de démonstration peu commune, une documentation historique exemplaire et, par-dessus tout, une vision magistrale de la traduction.