Presses Universitaires du Septentrion

https://www.septentrion.com/fr/livre/?GCOI=27574100847890
Le miroir des femmes 2
Titre Le miroir des femmes 2
Sous-titre Roman, Conte, Théatre, Poésie au XVIe siècle
Édition Première édition
Auteurs Jean-Pierre Guillerm, Luce Guillerm, Laurence Hordoir, Marie-Françoise Piéjus
Éditeur Presses Universitaires du Septentrion
BISAC Classifications thématiques LIT000000 LITERARY CRITICISM
Public visé 05 Enseignement supérieur
CLIL (Version 2013-2019 ) 3435 LITTÉRATURE GENERALE
3643 Essais littéraires
Date de première publication du titre 01 janvier 1984
Code Identifiant de classement sujet      93 Classification thématique Thema: DS


Support Livre broché
Nb de pages 260 p.
ISBN-10 2859392351
ISBN-13 978-2-85939-235-2
GTIN13 (EAN13) 9782859392352
Référence 207
Date de publication 01 janvier 1984
Nombre de pages de contenu principal 260
Format 16 x 24 cm
Poids 428 gr
Prix 10,67 €
 

Description

Ce second volume ouvre, après les discours de la loi, sur l'espace du plaisir de lire des hommes et des femmes du XVIe siècle. Une bibliothèque diverse et lacunaire se propose ici. - Diverse en cela qu'elle enregistre, comme il en était dans le volume précédent, les lectures suscitées par les traductions multiples qui assimilent au domaine français des textes narratifs et dramatiques écrits d'abord en italien ou en espagnol. Ainsi, au delà d'une thématique privilégiée, se constate la formation d'une prose française trop souvent mal connue. - Lacunaire en cela que les textes retenus, de par leur statut de traduction entre autres, sont négligés par les rééditions modernes. Nulle prétention donc à l'exhaustivité; au contraire, puisque la rareté est privilégiée dans ce paradoxe incontournable: ce qui fut le fond de ces lecture de plaisir n'appartient pas à ce qu'on définit ordinairement comme "littérature française".En tout ces textes, les codes varient les plaisirs à la loi comme à ses transgressions. Le souple endoctrinement des moralistes fait place à des mises en scène multiples dans lesquelles le débat lui-même peut se faire objet d'un plaisir éperdu à la rhétorique et la faute occasion aussi bien d'une délectation des larmes que des rires.Au terme de ce parcours qui ne prétend nullement à l'érudition, des textes de femmes sont proposés, écrits non par des illustres mais une fois encore par celles, quasi oubliées, qui tentèrent modestement et hardiment de s'approprier ce bien des hommes qu'était l'écriture.