Troisième et dernière recherche de La dialectique réflexive, achevant la constitution de l'ontologie du soi ou « séisme ». L'intérêt du livre n’est pas seulement spéculatif ou de philosophie théorique, mais, conformément à la méthode mise en œuvre dans les deux premiers volumes, également historique, puisque ce sont les traditions de « l’analogie de l’être », de « l’attribution » et de la « participation » en régime métaphysique, notamment chez les auteurs dits scolastiques, de même que les rapports entre religion et philosophie, en particulier chez Saint Thomas et Hegel, qui sont au cœur de l’ouvrage.
Abréviations utilisées
Introduction
Première Partie.
Onto-théologie et théo-ontologie.
Chapitre 1.
De l'ontologie aristotélicienne aux deux synthèses d’ontologie et de théologie.
Chapitre 2.
La dialectique réflexive comme onto-théologie.
Chapitre 3.
La dialectique réflexive et la religion.
Chapitre 4.
Une alternative entre deux séquences : art-religion-philosophie ou religion-art-philosophie ?
Seconde Partie.
L’onto-théologie de l’agir réflexif.
Chapitre 1.
L’agir dialectique de la présence, ses moments constituants.
Chapitre 2.
De l’ontologie à la théologie de l’agir.
Chapitre 3.
Apories hégéliennes de l’agir théologique.
Chapitre 4.
De l’agir ontologique à l’agir attributif : la proposition dialectique.
Troisième Partie.
Attribution, analogie et participation.
Chapitre 1.
Univocité, équivocité et analogie. Les apports de saint Thomas, D. Scot, T. Cajetan.
Chapitre 2.
L’analogie d’attribution et la participation ontologique.
Chapitre 3.
Métaphysiques attributives et métaphysiques participatives.
Chapitre 4.
Les trois réflexions de l’essence dans les métaphysiques participatives et attributives.
Conclusion
Bibliographie