Maxime Decout est professeur des universités à Paris IV, Sorbonne, spécialiste de littérature française des XXe et XXIe siècles.
Premier ensemble d'études critiques portant sur deux romans hypercontemporains de Tanguy Viel.
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Tanguy Viel : La Disparition de Jim Sullivan et Article 353 du Code Pénal
Maxime Decout, Laurent Demanze
En adoptant une perspective à la fois diachronique et synchronique, l'ouvrage interroge les résurgences, les débordements, les seuils historiques et ensembles esthétiques de la littérature française.
Le romanesque dans les écritures contemporaines
Anne-Sophie Donnarieix, Morgane Kieffer
Cet ouvrage collectif veut montrer que, contrairement à l'idée reçue, Mai 68 a exercé une influence à la fois rapide, profonde et durable sur la littérature. Non seulement les écrivains se sont engagés dans l’action à l’instar de Blanchot ou Duras, mais le mouvement a inspiré aux romanciers, poètes et dramaturges, témoins ou acteurs de Mai, une ...
Nelly Wolf, Matthieu Rémy
Le virage autobiographique d'Hélène Cixous, amorcé avec Osnabrück, dédié à la figure de la mère, et complété par Si près, consacré au deuil du père, ouvre une quête des origines sans précédent dans son œuvre. Ce volume se propose, en faisant appel à des spécialistes de l’œuvre, d’interroger tant le travail sur la langue qui guide Hélène Cixous...
Hélène Cixous, Osnabrück et Si près
Maxime Decout
Si on a souvent étudié les enjeux d'une écriture de la guerre, on a moins prêté attention à ses répercussions, après coup, sur la forme et les enjeux des œuvres littéraires. Qu’elle menace la cohérence d’une poétique ou infléchisse un parcours, l’épreuve polémique devient césure. Prendre la mesure des reconfigurations esthétiques et éthiques...
Écrits de guerre : des laboratoires esthétiques
Hélène Baty-Delalande, Maxime Decout