Le numéro 69 de Germanica souhaite éclairer à partir d'exemples d’œuvres littéraires ou essayistiques publiées en RFA, RDA, Allemagne unifiée, Autriche et Pays-Bas, la prise de conscience de l’environnement dégradé et du lien rompu avec la nature afin d’interroger ce que la littérature a pu et peut apporter à la démarche écologique. Les articles pressentis s’attachent à un auteur ou une œuvre précise (Matthias Wegehaupt, Christoph Hein, Otto F. Walter, Adolf Muschg, Maarten 't Hart, Annie Harrar, Peter Handke, Yoko Tawada, Hans Leifhelm, Heinrich Detering, Friedrich Dürrenmatt), croisent différents ouvrages et font se répondre des écrivains (Monika Maron et Julie Zeh ; des auteurs de la littérature autrichienne contemporaine) ou envisagent un genre particulier (le roman policier, le nature writing, l’élégie).