Livre inscrit au programme ReLire.
Navires armés, navires désarmés, bateaux longs, bateaux ronds, tarides, nefs, coques et "caraques", "marani" ou caravelles, marcilianes eurent chacun leur heure de prospérité sur les grands axes de la navigation en Méditerrannée. Comment la cité-Etat (Venise, Gênes, Raguse) réussit-elle à amortir les coûts de construction et d'utilisation de ces voiliers? Quels rapports se nouent entre l'Etat, les marchands-armateurs et des spéculateurs pour la répartition des profits d'un commerce du sel constamment sollicité de subventionner la navigation? Pendant plus de quatre siècles, l'auteur suit les destinées du commerce maritime des grands ports italiens et des principales escales méditerranéennes. Il se refuse à conclure au déclin successif de Gênes, Venise ou Raguse et préfère étudier les mutations structurelles grâce auxquelles les classes dirigeantes ont maintenu leur fortune et leur pouvoir. Ces deux volumes ("Le sel et la fortune de Venise") devraient rencontrer une audience internationale, à la mesure du sujet traité, auprès d'un vaste public cultivé, passionné par l'insolent triomphe millénaire de Venise et les destinées de la Méditerrannée.
Support
Livre broché
Nb de pages
740 p.
Mention d'édition
Livre inscrit au programme ReLire.
ISBN-10
2859391223
ISBN-13
978-2-85939-122-5
GTIN13 (EAN13)
9782859391225
Référence
112
Date de publication
01 janvier 1979
Nombre de pages de contenu principal 740