Presses Universitaires du Septentrion
onixsuitesupport@onixsuite.com
20240328
fre
COM.ONIXSUITE.9782913761599
03
01
Presses Universitaires du Septentrion
01
SKU
1403
02
2913761593
03
9782913761599
15
9782913761599
10
BC
02
00352195
01
<em>Revue des Sciences Humaines</em>
Numéro 312
2013
01
Revue des Sciences Humaines, n°312/octobre - décembre 2013
Nouvelles sans récit - Une crise de la narration dans la fiction brève (1900-1939)
01
GCOI
27574100574150
1
B01
Bruno Curatolo
Curatolo, Bruno
Bruno
Curatolo
2
B01
Yvon Houssais
Houssais, Yvon
Yvon
Houssais
1
01
fre
182
00
182
03
LIT000000
29
2012
3435
LITTÉRATURE GENERALE
24
Septentrion Internet hierarchy
Lettres et littératures françaises
29
juillet 2013
3643
Essais littéraires
93
DS
01
05
01
<p>
Qui se souvient de Jean Cassou, Claude Farrère, Georges Limbour? Qui a lu les nouvelles de Blaise Cendrars, Albert Cohen, Jean Schlumberger? Le premier vingtième siècle, en ce qui concerne la nouvelle, est une période injustement oubliée par la critique littéraire, qui la perçoit comme une transition un peu atone, un peu molle entre Maupassant et le renouveau des années cinquante. Et pourtant! Même si beaucoup d'écrivains se contentent de reprendre des recettes éprouvées, la nouvelle, dans l'ombre du roman, cherche sa voie, ses voix, tente de prendre ses distances avec l'encombrante tradition du siècle précédent.<br />
D'abord en quête d’une inspiration différente, les auteurs proposent aussi d’autres manières de raconter et la nouvelle, du fait peut-être de sa faible visibilité dans l’espace libraire, entre journaux, revues ou recueils, de son statut générique également mal défini, se fait propice à de multiples expérimentations, du monologue intérieur aux plus déconcertantes variations énonciatives. Raconte-t-elle encore une histoire? Peut-on encore parler de récit? Comment la <em>situer </em>?<br />
Restreignant la durée et la trame événementielle, multipliant les ellipses, estompant les frontières entre rêve et réalité, la nouvelle dans la première moitié du vingtième siècle se révèle être ainsi une formidable machine à semer le doute, à déstabiliser le lecteur, toutes vertus éminemment modernes de la création littéraire.</p>
03
<p>
Qui se souvient de Jean Cassou, Claude Farrère, Georges Limbour? Qui a lu les nouvelles de Blaise Cendrars, Albert Cohen, Jean Schlumberger? Le premier vingtième siècle, en ce qui concerne la nouvelle, est une période injustement oubliée par la critique littéraire, qui la perçoit comme une transition un peu atone, un peu molle entre Maupassant et le renouveau des années cinquante. Et pourtant! Même si beaucoup d'écrivains se contentent de reprendre des recettes éprouvées, la nouvelle, dans l'ombre du roman, cherche sa voie, ses voix, tente de prendre ses distances avec l'encombrante tradition du siècle précédent.<br />
D'abord en quête d’une inspiration différente, les auteurs proposent aussi d’autres manières de raconter et la nouvelle, du fait peut-être de sa faible visibilité dans l’espace libraire, entre journaux, revues ou recueils, de son statut générique également mal défini, se fait propice à de multiples expérimentations, du monologue intérieur aux plus déconcertantes variations énonciatives. Raconte-t-elle encore une histoire? Peut-on encore parler de récit? Comment la <em>situer </em>?<br />
Restreignant la durée et la trame événementielle, multipliant les ellipses, estompant les frontières entre rêve et réalité, la nouvelle dans la première moitié du vingtième siècle se révèle être ainsi une formidable machine à semer le doute, à déstabiliser le lecteur, toutes vertus éminemment modernes de la création littéraire.</p>
02
Qui se souvient de Jean Cassou, Claude Farrère, Georges Limbour ? Qui a lu les nouvelles de Blaise Cendrars, Albert Cohen, Jean Schlumberger ? Le premier vingtième siècle, en ce qui concerne la nouvelle, est une période injustement oubliée par la critique littéraire, qui la perçoit comme une transition un peu atone, un peu molle entre Maupassant...
43
La <em>Revue des Sciences humaines</em> est l'une des premières revues à introduire les méthodes de la « nouvelle critique » dans ses articles, qu'il s'agisse de poétique, de narratologie ou, plus largement, d'approches de la littérature...
44
<p><strong>Directeur de publication</strong> : Dominique Viart<br /> <strong>Secrétaire de rédaction </strong>: Karl Zieger</p> <p><!--EndFragment-->Fondée en 1927 par Émile Bréhier (historien de la philosophie, membre de l'Institut), sous l'intitulé <em>Revue d'histoire de la philosophie</em>, devenue <em>Revue d'histoire de la philosophie et d'histoire générale de la civilisation</em> en 1933 sous l'impulsion de René Jasinski (professeur à l'université de Lille puis à la Sorbonne et à Harvard), la <strong><em>Revue des Sciences humaines</em></strong> prend son titre actuel le 1<sup>er</sup>janvier 1947. Elle fut dès lors l'une des premières revues à introduire les méthodes de la «nouvelle critique» dans ses articles, qu'il s'agisse de poétique, de narratologie ou, plus largement, d'approches de la littérature informée par les Sciences humaines et sociales: sociologie littéraire et sociocritique, psychanalyse et textanalyse, thématique richardienne, anthropologie textuelle, sémiologie, regards philosophiques sur la littérature… tout en demeurant ouverte à une histoire littéraire revisitée.</p> <p>Trimestrielle et désormais éditée par les Presses Universitaires du Septentrion, la <em>Revue des Sciences humaines</em> demeure fidèle à cette orientation. Elle publie des travaux de recherche et de critique universitaires inédits consacrés à la littérature, toutes périodes et toutes aires géographiques et linguistiques confondues, avec une attention plus soutenue mais non exclusive envers les littératures française et francophones modernes et contemporaines. Toutes les approches méthodologiques sont acceptées, sous réserve de leur exigence scientifique et de leur qualité d'écriture et de lisibilité, auxquelles la revue est particulièrement attachée. Fidèle à son titre, la Revue souhaite particulièrement mettre en œuvre le dialogue entre Littérature et Sciences humaines et sociales, dans ses formes les plus actuelles. Elle s'ouvre également aux relations entre la littérature et les autres disciplines artistiques : arts plastiques, cinéma, photographie, théâtre.</p> <p>Chaque numéro est constitué d'un dossier thématique, portant sur l'œuvre d'un écrivain ou sur une problématique transversale. La Revue ne publie pas d'articles isolés. Elle accueille en revanche, en sus des études scientifiques, des contributions réflexives d'écrivains, propose des entretiens, et, plus ponctuellement, publie des archives ou des textes littéraires inédits. Revue à vocation internationale, elle confie certains de ses dossiers à des chercheurs ou universitaires étrangers et la plupart accueillent des contributions de collègues internationaux. Le Conseil éditorial et le comité de rédaction sont eux-mêmes composés pour partie d'universitaires et chercheurs étrangers: Allemagne, Autriche, Belgique, États-Unis, Italie, Suisse. Les dossiers proposés sont soumis à une double évaluation: par les comités de la revue et par des lecteurs extérieurs (<em>blind peer review)</em>. Des recensions d'ouvrages critiques complètent les numéros.</p> <h1><strong>Appel à manifestation pour accord de diffusion aux auteurs et ayants droits</strong></h1> <p>La <i>Revue des Sciences Humaines</i> entreprend la numérisation et la mise en ligne de tous les numéros parus depuis la création de la revue en 1927 jusqu'en 2019.</p> <p>La diffusion libre et gratuite des numéros parus jusque 2019 (numéro 336) se fera sur Persée (<a class="moz-txt-link-freetext" href="https://www.persee.fr/" moz-do-not-send="true"><span style="color: rgb(0, 0, 255)">https://www.persee.fr/</span></a>). Celle des numéros parus depuis 2020 sur OpenEdition Journals (<a class="moz-txt-link-freetext" href="https://journals.openedition.org/rsh/" moz-do-not-send="true"><span style="color: rgb(0, 0, 255)">https://journals.openedition.org/rsh/</span></a>) avec une barrière mobile d'un an avant diffusion libre et gratuite.</p> <p>Faute de pouvoir tous les joindre, nous considérons <i>a priori </i>que les contributeurs sont d'accord avec cette démarche, charge à eux ou à leurs ayant-droits de se manifester à l'adresse <a class="moz-txt-link-abbreviated" href="mailto:droits-RSH@septentrion.com" moz-do-not-send="true">droits-RSH@septentrion.com</a>, si tel n'était pas le cas, afin que leur(s) article(s) soient ôtés de cette mise en ligne. Pour valoir ce que de droit.</p> <p></p> <p><!--StartFragment--></p> <p><!--StartFragment-->• ISSN : <!--StartFragment-->2540-3362<!--EndFragment--> (en ligne)<!--EndFragment--></p>
04
01
http://www.septentrion.com/resources/titles/27574100574150/images/0e0f9e664029e8912996d65c1cf09761/THUMBNAIL/9782913761599.jpg
17
03
01
https://www.septentrion.com/resources/publishers/1.jpg
02
https://www.septentrion.com/livre/?GCOI=27574100574150
Revue des Sciences Humaines
01
06
3052865310012
Presses Universitaires du Septentrion
01
www.septentrion.com/
http://www.septentrion.com/
04
20140131
2014
01
WORLD
01
9.45
in
02
6.30
in
08
11.68
oz
01
24
cm
02
16
cm
08
331
gr
06
3012600500000
Sodis
33
www.sodis.fr/
http://www.sodis.fr/
29
http://www.sodis.fr/
06
WORLD 01 1
21
04
02
25.00
EUR
R
5.50
23.70
1.30
06
3012262710000
CID - Fondation MSH Distribution
33
www.cid-difusion.fr
http://www.cid-difusion.fr
29
http://www.cid-difusion.fr
03
WORLD 01 1
21
04
02
25.00
EUR
R
5.50
23.70
1.30