Presses Universitaires du Septentrion

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Condition juridique du corps humain
Titre Condition juridique du corps humain
Sous-titre Avant la naissance et après la mort
Édition Première édition
Collection Droit
ISSN 12582964
Éditeur Presses Universitaires du Septentrion
BISAC Classifications thématiques LAW000000 LAW
Public visé 05 Enseignement supérieur
CLIL (Version 2013-2019 ) 3259 DROIT
3080 SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES
Date de première publication du titre 30 novembre 2012
Code Identifiant de classement sujet      93 Classification thématique Thema: LA


Support Livre broché
Nb de pages 448 p.
ISBN-10 2-7574-0409-1
ISBN-13 978-2-7574-0409-6
GTIN13 (EAN13) 9782757404096
Référence 1380
Date de publication 30 novembre 2012
Nombre de pages de contenu principal 448
Format 16 x 24 cm
Poids 706 gr
Prix 32,00 €
 

Description

Les formidables progrès de la science ont contraint le juriste à définir le corps humain avant la naissance et après la mort. Et parce que le juriste demeure, aujourd'hui encore, prisonnier de l’immuable et incontournable distinction entre les personnes et les choses, l’auteur se voit amené, dans une analyse dont l’honnêteté scientifique et la rigueur juridique ne peuvent être prises en défaut, à dresser un constat qui peut paraître inquiétant. En l’état actuel du droit objectif, le corps humain avant la naissance et après la mort se voit remisé au rang des choses, car il n’est pas affecté au service d’un sujet de droit.
Et le juriste est mis en face de ses responsabilités.
Ne rien faire, c’est accepter le constat proposé. Mais quel devenir pour l’humanité ! Proposer d’un autre côté une solution personnificatrice du corps humain avant la naissance et après la mort, peut paraître tentant. Mais l’auteur met en garde le lecteur de ne pas se laisser abuser par les artifices du langage. Le mot « personne » en droit répond à une définition précise, qu’on ne peut remetre en cause. Une législation qui qualifierait le corps de personne pour pouvoir mieux le traiter en objet, serait sans doute pire que le mal.