Ce livre traite des relations entre fixité et mouvement qui se sont nouées tout au long de l'histoire de l’image optique, depuis ses origines jusqu’à ses formes les plus récentes. Il propose une analyse de ces nouvelles image mais il s’interroge aussi sur les liens paradoxaux de la photographie au mouvement, et de l’image animée, à la fixité.

Cet ouvrage analyse les différentes étapes du processus de création cinématographique (production, distribution et exploitation des films, en passant par les industries techniques et la réception par les publics) et dévoile tous les enjeux mais aussi les limites, de cette confrontation du cinéma populaire indien au modèle d'Hollywood.

Qu'est-ce qui se trouve en jeu lors de chacune de nos consommations, y compris culturelles ? La théorie économique dominante, considérant chaque individu comme un être rationnel, présuppose que son comportement est dicté par la recherche de son intérêt. Pourtant, les biens et les services ne gravitent pas librement autour de chaque individu...

Le cinéma de grande consommation est ici la face émergée d'un iceberg. Il ne s’agit pas de récuser les œuvres qui avivent le goût, la conscience, mais de chercher du côté des mythes des dénominateurs communs, les référents anthropologiques, et non seulement artistiques, littéraires ou philosophiques, du 7e art.

Il s'agit de proposer une théorie du cinéma au regard du baroque, à partir d'analyses d'œuvres de cinéastes qui se sont dits influencés par ce style et de relire les films de réalisateurs reconnus mais aussi de cinéastes plus marginaux. Pour eux, le baroque est un miroir qui permet de repenser notre monde moderne.

Cet ouvrage réinterroge aussi bien le cinéma hawksien que les discours critiques qui ont contribué à en bâtir les modèles de réception depuis plus de cinquante ans. Il entend dégager de l'analyse des films une autre approche du cinéma hawksien, fondée sur une esthétique de la retenue.

Au lendemain de la 2e guerre mondiale, l'importance que les Français accordent au cinéma se traduit par de nombreuses mesures (réouverture des salles, installation d'ateliers et de studios, création de sociétés franco-allemandes...) qui dénote une volonté de rehausser le prestige de la France et d'implanter le cinéma français en Allemagne.

Entreprenant une lecture filmique du texte littéraire, on réfléchit ici les jeux de montage que le recours du film permet de tracer dans le texte. Mais la saisie d'une quatrième dimension textuelle, lisible seulement dans le désaississement du...